6 mesures faciles à mettre en œuvre pour mieux accompagner les parents salariés
Toutes les entreprises ne peuvent pas accorder 24 semaines de congé paternité comme Spotify, installer des salles d’allaitement dans ses locaux tel que chez Back Market, ou encore dédier un mois à la parentalité à ses collaboratrices comme chez Accenture. Que ce soit au niveau des ressources ou du coût, les petites structures ne peuvent pas concurrencer les avantages proposés par les gros groupes. Pourtant, certaines actions en faveur de la parentalité sont faciles à mettre en œuvre, à moindre coût, quelle que soit la taille de l’entreprise. Nous en avons repéré 6.
1. Aider les managers à accueillir la parentalité
Les services RH ont beaucoup à faire pour réussir à outiller les managers et à les intégrer davantage dans le processus de parentalité. Leur rôle dans l’accompagnement des parents salariés commence dès l’annonce de la grossesse. En effet, nombreuses sont les femmes qui craignent d’annoncer la nouvelle à leur manager et qui redoutent leur réaction. Les RH peuvent donc aider les managers à accueillir positivement la nouvelle et à les sensibiliser sur les discriminations. Vous pouvez par exemple organiser des ateliers ou créer et partager des fiches de bonnes pratiques aux managers pour bien préparer les étapes suivantes qui attendent la salariée.
2. Préparer un guide de la parentalité
Un guide pour la parentalité présente deux avantages :
- Il développe l’image de marque de l’entreprise ;
- Il donne toutes les informations sur la politique parentale de l’entreprise (durée des congés maternité et paternité, droits, solutions éventuelles de garde d’enfant, etc.).
Ainsi, les salariées sont bien informées des droits dont elles peuvent bénéficier comme par exemple de pouvoir passer une visite médicale en retour de congé maternité.
Le guide d’accueil de la parentalité peut également contenir toutes les informations et les dispositions relatives au congé maternité.
3. Développer le télétravail à des moments charnières de la parentalité
Si l’on devait trouver un argument positif en faveur de la crise sanitaire, c’est qu’elle a largement aidé à démocratiser le télétravail en entreprise. Toutefois, d’une entreprise à l’autre, suivant la taille et les contraintes liées au business, la politique en matière de télétravail diffère. Certaines entreprises proposent 1 jour de télétravail par semaine, tandis que d’autres ont pour habitude d’en offrir 3.
Pour une salariée, rester chez soi en télétravail peut s’avérer particulièrement rassurant à certains moments de sa grossesse ou pour l’intégration à un parcours PMA. Ceci se vérifie notamment lors des premiers mois de grossesse où la salariée eut rencontrer des symptômes inconfortables comme une fatigue accrue ou des nausées et qu’il peut être plus aisé d’éviter le calvaire des transports en commun bondés ou de lui infliger beaucoup de kilomètres pour rejoindre son lieu de travail. Être en télétravail est tout aussi important pour la salariée en parcours PMA qui est soumise aux contraintes horaires de l’hôpital ou qui doit éviter de trop bouger.
4. Adapter les horaires de travail aux salariés parents
Cette mesure concerne plus particulièrement la tenue des réunions de travail. En effet, la plupart des parents sont contraints d’aller chercher leurs enfants en crèche à 18h, par exemple, et tous n’ont pas la possibilité de passer par une baby-sitter pour assurer la relève. Dans ce type de situation, les salariés parents sont souvent dans l’impossibilité d’assister à des réunions qui peuvent être stratégiques ou qui les concerne. En prenant ces paramètres en compte, l’entreprise peut imposer des plages horaires afin d’inclure les salariés parents dans les réunions. Par exemple, les réunions matinales peuvent débuter à 9h30 et les réunions en soirée terminer au maximum à 18h, en s’assurant de ne pas dépasser la plage horaire définie.
5. Accorder des jours de congés en cas de fausse couche
En France, les femmes ont droit à un congé maternité dans le cas d’un bébé mort-né après 22 semaines de grossesse ou après un deuil périnatal. Pour en bénéficier, elles doivent en faire la demande à leur médecin traitant. Alors que 1 femme sur 4 est confrontée au moins une fois dans sa vie à une fausse couche, il n’y a aucune obligation légale en France à accorder des jours de congé en cas de fausse couche. Les entreprises qui souhaitent développer leur politique d’accompagnement des parents-salariés peuvent s’inspirer de la Nouvelle-Zélande, qui vient de voter une loi accordant trois jours de congés payés aux salariées après une fausse couche. Le père (ou le second parent) peut aussi faire la demande pour bénéficier de ce congé payé. Si en France aucune loi n’oblige les entreprises à adopter des jours de congé dans ce cas bien précis, il n’en demeure pas moins que le modèle néo-zélandais est inspirant et pourrait être répliqué.
6. Proposer des solutions de garde aux salariés
Le retour au travail des parents salariés peut être compliqué, que ce soit du point de vue psychologique, mais surtout du point de vue organisationnel. Proposer des solutions de garde aux parents qui reviennent d’un congé parental est une solution particulièrement efficace et fiable, qui permet aussi de fidéliser ses salariés. La crèche inter-entreprises, par exemple, est un dispositif avantageux, particulièrement plébiscité par les jeunes parents. C’est une mesure gratuite pour les salariés. L’employeur réserve la place de son salarié qui accèdera à un mode de garde le plus économique du marché, à un tarif similaire à celui pratiqué par les crèches municipales. La crèche inter-entreprise les soulage et les rassure en s’adaptant à leurs besoins et à leurs contraintes. Du point de vue de l’entreprise, cela permet de réduire les absences, les retards et d’attirer de nouveaux talents avec des mesures modernes et concrètes en faveur des salariés.
Pour les entreprises, Choisir ma Crèche propose une solution clé en main, sans surcharge administrative pour les services RH. De la recherche de la crèche idéale à la gestion administrative du contrat inter-entreprise, notre équipe s’occupe de tout ! Vous souhaitez adopter une solution concrète pour accompagner les parents salariés, les soulager et encourager leur retour au travail ? Contactez-nous pour nous parler de votre projet !
4. Adapter les horaires de travail aux salariés parents
Cette mesure concerne plus particulièrement la tenue des réunions de travail. En effet, la plupart des parents sont contraints d’aller chercher leurs enfants en crèche à 18h, par exemple, et tous n’ont pas la possibilité de passer par une baby-sitter pour assurer la relève. Dans ce type de situation, les salariés parents sont souvent dans l’impossibilité d’assister à des réunions qui peuvent être stratégiques ou qui les concerne. En prenant ces paramètres en compte, l’entreprise peut imposer des plages horaires afin d’inclure les salariés parents dans les réunions. Par exemple, les réunions matinales peuvent débuter à 9h30 et les réunions en soirée terminer au maximum à 18h, en s’assurant de ne pas dépasser la plage horaire définie.
5. Accorder des jours de congés en cas de fausse couche
En France, les femmes ont droit à un congé maternité dans le cas d’un bébé mort-né après 22 semaines de grossesse ou après un deuil périnatal. Pour en bénéficier, elles doivent en faire la demande à leur médecin traitant. Alors que 1 femme sur 4 est confrontée au moins une fois dans sa vie à une fausse couche, il n’y a aucune obligation légale en France à accorder des jours de congé en cas de fausse couche. Les entreprises qui souhaitent développer leur politique d’accompagnement des parents-salariés peuvent s’inspirer de la Nouvelle-Zélande, qui vient de voter une loi accordant trois jours de congés payés aux salariées après une fausse couche. Le père (ou le second parent) peut aussi faire la demande pour bénéficier de ce congé payé. Si en France aucune loi n’oblige les entreprises à adopter des jours de congé dans ce cas bien précis, il n’en demeure pas moins que le modèle néo-zélandais est inspirant et pourrait être répliqué.
6. Proposer des solutions de garde aux salariés
Le retour au travail des parents salariés peut être compliqué, que ce soit du point de vue psychologique, mais surtout du point de vue organisationnel. Proposer des solutions de garde aux parents qui reviennent d’un congé parental est une solution particulièrement efficace et fiable, qui permet aussi de fidéliser ses salariés. La crèche inter-entreprises, par exemple, est un dispositif avantageux, particulièrement plébiscité par les jeunes parents. C’est une mesure gratuite pour les salariés. L’employeur réserve la place de son salarié qui accèdera à un mode de garde le plus économique du marché, à un tarif similaire à celui pratiqué par les crèches municipales. La crèche inter-entreprise les soulage et les rassure en s’adaptant à leurs besoins et à leurs contraintes. Du point de vue de l’entreprise, cela permet de réduire les absences, les retards et d’attirer de nouveaux talents avec des mesures modernes et concrètes en faveur des salariés.
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